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The Legend of Zelda - Oracle of Ages

Section Test.


Zelda no Densetsu : Fushigi na Ki no Mi - Jikuu no Shou
27/02/2001
Edité par Nintendo
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The Legend of Zelda : Oracle of Ages
13/05/2001
Edité par Nintendo
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The Legend of Zelda : Oracle of Ages
05/10/2001
Edité par Nintendo
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Console: Nintendo Game Boy Color
Genre:Action/Aventure
Développeur: Capcom
Joueurs: Solo uniquement
Une exclusivité Nintendo Game Boy Color

Photo de la boite de The Legend of Zelda - Oracle of Ages
The Legend of Zelda - Oracle of Ages, capture d'écran The Legend of Zelda - Oracle of Ages, capture d'écran The Legend of Zelda - Oracle of Ages, capture d'écran
Forcément, après la pluie, vient le beau temps …
Cette phrase d'introduction n'a l'air de rien comme cela, mais pour ceux qui sont attentifs et aussi subtils que moi, vous aurez compris ce que cette maxime vient faire ici. J'ai rédigé le test de Zelda Oracles des Saisons (la pluie), et je m'attaque maintenant à celui de Zelda Oracles des Ages (le temps). Effectivement, après l'enthousiasme provoqué par Seasons, je me devais de me pencher sur Ages, et vous en toucher un mot… ou bien plus. Évidemment, je ne pourrai m'empêcher de faire des parallèles entre les deux softs, mais restez jusqu'au bout, vous verrez, ça va être bien.


On prend les mêmes et on recommence c'est ça ?

Eh bien non!! Au niveau du scénario, si l'on prend les choses au premier degré, et que l'on ne fouille pas un peu, on pourrait croire qu'il est très semblable voire même quasiment identique à celui de Seasons. Que nenni. Si l'histoire débute après vous être évanoui dans une plaine de Labrynna, où vous rencontrez la nurse de Zelda puis presque immédiatement Nayru (l'Oracle des Ages), là se situeront les seules similitudes avec Seasons. D'abord, Nayru chante. Toujours la même chanson, d'accord, mais avec une « voix magnifique que l'on pourrait écouter des heures ». Mais bien entendu, ce havre de paix auditive ne peut durer bien longtemps, et Veran, une sorcière maléfique, vient prendre possession de la jeune oracle, et en profite pour changer totalement le passé… et donc le présent. Peut être avez-vous entendu parler du « paradoxe du temps ». Sinon, je vous l'explique en quelques mots : j'ai de quoi retourner dans le temps, et je tue accidentellement mon père. Alors je ne suis pas née. Alors je n'ai pas tué mon père. Donc je suis née et j'ai pu retourner dans le passé. Alors je tue mon père accidentellement… C'est à la fois exister, sans exister. Sans aller jusqu'à de telles subtilités, tout l'intérêt de Oracle of Ages sera de jouer sur les conséquences passé/présent, que vous pourrez parcourir au gré de vos envies. Veran/Nayru s'acoquinera avec Ambi, reine du passé, et cette dernière, totalement sous le charme, accédera à toutes les fantaisies de sa nouvelle amie, et obligera le peuple de Labrynna à construire une immense tour noire. Cela étant, au fil de l'histoire, vous comprendrez que cette tour représente un symbole différent pour Veran et pour Ambi. Mais je ne vous en dis pas plus, et vous laisse découvrir le reste du jeu, et partir à l'aventure pour sauver Nayru… Et bien sûr, vous bénéficierez de l'aide de certains personnages pour obtenir les huit essences du temps, nécessaires pour détruire Veran et arrêter les désastres des changements dans le cours du temps.

Holodrum c'était quand même sympa, mais Labrynna ça donne quoi ?

Au niveau réalisation, rien à redire. La map n'est pas sans rappeler celle de « A Link to the Past », avec le monde des ténèbres et celui de la lumière, même si la comparaison s'arrêtera là.

Le principe du jeu sera de faire des allers et retours présent/passé (pas de futur non, ils ne sont pas allés aussi loin que dans l'excellent Chrono Trigger), aux ambiances totalement différentes. Le passé aura un côté très nostalgique, avec des couleurs dans des dégradés rouge et ocre, qui donnent un aspect vieilli à tout l'environnement. Au contraire, le présent sera lui très lumineux, coloré. Bien entendu, vous avez des changements entre les deux époques. Des arbres poussent, des rivières disparaissent, le flot de la mer change… Bref, tout a été étudié pour donner un vrai sens à ces plongeons dans les différents temps.

Au delà de ce passé et ce présent aux designs et backgrounds très réussis, vous ferez face à un jeu avec une réalisation aux petits oignons. Link sera bien entendu très réussi, avec un rendu parfait, vous ne ferez pas face à un environnement pixelisé, le tout sera soigné, et propre. Les développeurs de la saga ont pris garde d'être à la hauteur des attentes du public. Et évidemment, qui dit « Zelda » dit « ambiance garantie ». Vous ne serez pas déçus… Si l'on se rappelle de personnages emblématiques de certains précédents opus, vous aurez de quoi faire avec Oracle of Ages. Vous visiterez le très réussi village des Zoras, qui est entièrement immergé. Le rendu de l'eau mouvante est tout simplement superbe, surtout compte tenu du support. Mais vous ferez aussi la connaissance de Ralph, gentil boulet qui se dit « protecteur de Nayru » et qui ne fait rien d'autre que d'apparaître de temps en temps pour vous donner des conseils inutiles, et vous reprocher de perdre votre temps à chercher les essences du temps plutôt que de sauver Nayru. A l'instar de Seasons, vous aurez aussi un arbre bojo qui vous guidera, mais ce sera une femelle (oui, les arbres ont une sexualité dans les Zeldas. Que voulez vous…). Vous passerez aussi beaucoup de temps dans la montagne des gorons, qui vous proposeront des divertissements assez variés. Vous rencontrerez Ralph, un jeune homme voulant construire un radeau, et le fameux Tingle, toujours aussi dingo, avec ses mots magiques qu'il ne faut pas lui voler. Bien entendu, on trouvera également des Moblins (dirigés par un chef un peu bêta), des like like, des octorocks et autres momies… Vous rencontrerez aussi un étrange peuple, les Tokays, qui ne survivront pas à l'épisode (c'est à dire qu'ils n'apparaîtront que dans Ages). Si l'on veut résumer, on retrouve tout ce qui fait la recette d'un excellent opus de la saga : une réalisation très soignée, un environnement typique, et des personnages originaux et mémorables.

Je vous rappelle que Pokémon Rouge et Bleu avaient exactement le même gameplay… quel intérêt alors de refaire pareil avec Zelda?

Ah, mais je vous arrête tout de suite… si je vais là faire un point de comparaison avec Oracle of Seasons, vous allez voir que si vous ne prenez Ages que dans son ensemble, vous auriez tendance à penser qu'il est très similaire à son jeu lié. Mais en regardant d'un peu plus près, vous n'aurez plus assez de doigts pour compter les différences. Elles sont même loin d'être minimes, car au delà d'un principe totalement différent (jeu sur la nature contre jeu sur le temps), vous vous rendrez compte que beaucoup de choses changent. Sur les similitudes, on note celles qui sont communes à tous les Zelda (l'épée ou l'écu par exemple), et celles qui sont caractéristiques des opus oracle : les graines gasha à planter pour récupérer des objets (généralement des anneaux), et les graines de différentes sortes (braise, mystère, parfums, pégase et vent), qui pallient l'absence d'un ocarina ou des bottes de pégase. Mais voyons maintenant les différences...

D'abord, les items. Vous aurez cette fois-ci le bonheur de trouver un grappin, trésor d'un donjon, alors qu'il a disparu dans Seasons. En revanche, le fameux boomerang sera un item annexe, et non obligatoire pour poursuivre votre épopée. Je peux aussi citer la canne de Somaria, le lance-graines, ou encore l'incroyable queue de sirène, qui m'a tout simplement clouée sur place quand je l'ai obtenue la première fois que je jouais à Ages. Je ne m'attendais pas du tout à un item comme cela, qui permettrait non seulement de ne pas couler en eau profonde, mais en plus de les parcourir, et ce de la façon la plus fluide possible. Chapeau l'artiste… Bien sûr, vous pourrez faire évoluer votre épée. Ici, la suite des échanges peut se faire plus rapidement, mais obtenir l'épée noble vous demandera de passer une épreuve… Là se trouve en fait tout l'intérêt des jeux liés : ils sont semblables, mais chacun a ses forces et ses faiblesses, et ce qui sera difficile à obtenir dans l'un deviendra plus accessible dans l'autre. Il en est de même pour les anneaux. Si vous voulez en saisir le système, je vous renvoie au test d'Oracle of Seasons, fait récemment (j'évite les redites). Mais vous verrez que certains anneaux ne seront pas disponibles dans Ages, et d'autres, qui s'avéreront particulièrement utiles, vous seront offerts assez facilement. Pour pouvoir aller d'une époque à l'autre, cette fois-ci, vous trouverez une harpe. Il vous faudra, au fil de votre histoire, apprendre des chants qui permettront soit l'ouverture de portails du temps grâce au chant des échos, soit d'aller uniquement du passé au présent (l'inverse n'étant pas possible) avec le chant des flux, et enfin de pouvoir changer d'époque à votre guise grâce au chant du temps. L'utilisation de cette harpe se fera souvent, mais elle sera contraignante, particulièrement au début de l'aventure puisque vous ne disposerez alors que du chant ouvrant les portails que vous trouverez disséminés un peu partout dans Labrynna, mais qui vous empêcheront de tout faire à votre guise. Les chants, comme ils sont peu nombreux, vous seront donnés avec parcimonie, et vous vous sentirez pousser des ailes une fois le chant du temps obtenu, car les contraintes deviendront alors moindres.

Si vous ferez des allers retours passé/présent, cela sera toujours dans le même pays : le village Lynna deviendra la Cité Lynna dans notre époque. Pas de découverte d'un pays annexe. En revanche, les découvertes des peuples seront nombreuses. Si les gorons sont quasiment anecdotiques dans Seasons, ils prennent une part très importante dans Ages, et vous aurez à débloquer deux donjons dans leurs montagnes. Les Zoras auront eux-aussi la part belle, alors qu'ils seront absents dans Seasons.

D'ailleurs, voilà une transition parfaite pour aborder quelques points de gameplay importants. L'opus Oracle of Ages donnera une importance toute particulière aux énigmes en tout genre, que ce soit dans les donjons, ou bien dans l'exploration pure. J'ai des souvenirs absolument terribles de certains moment de mon épopée, avec d'effroyables prises de tête, et des « non, mais c'est pas possible, les programmeurs se sont plantés, je ne peux plus rien faire ». Pour vous donner quelques exemples sans pour autant vous spoiler toute l'histoire, commençons par votre arrivée sur l'île des Tokays qui sera tout simplement traumatisante. Après avoir échoué chez eux, plutôt que de vous aider, ils vous pillent. Et ils ne font pas semblant, votre inventaire sera totalement vide. Il vous faudra alors faire d'innombrables allers retours pour récupérer tout votre équipement, d'autant que certains Tokays ne lâcheront pas leurs trésors facilement ; il vous faudra les négocier (même s'ils vous appartiennent, oui oui…), en récupérer un, pour aller en chercher un autre, puis rendre le premier pour en renégocier un troisième pour aller chercher un quatrième... Bref, vous passerez facilement une heure à enrager sur ces drôles de petits lézards, qui ont l'air mignon au premier abord, mais qui ne vont pas vous rendre l'aventure facile !

D'autres passages m'ont traumatisée… L'arrivée dans le village Zora, sous l'eau, m'a enthousiasmée, mais il a fallu nombre de manipulations « passé/présent » pour y accéder, au point que j'avais failli abandonner. Le pire restait cependant à venir, dans le ventre de Jabu Jabu, septième temple du jeu, qui lui, m'a donné des crises d’eczéma. Tous les inconditionnels des Zeldas connaissent le temple de l'eau dans Ocarina of Time, où vous devez jouer avec les niveaux d'eau pour explorer le donjon. Ben, là, c'est pareil. La Game Boy Color étant une console moins puissante que la Nintendo 64, on se réjouira seulement du fait que le donjon soit moins grand… Nous retiendrons aussi le donjon de la sirène qui, lui, se découpe en deux parties, et vous propose de jouer là aussi sur le côté « changer le passé aura une répercussion sur le présent ». Un donjon pas toujours facile, dont il faut bien saisir toutes les subtilités pour avancer…

Un autre point fort de Ages, qui le différencie de son « associé » Seasons, ce sont les jeux. En effet, vous aurez le droit à tout un tas de mini-jeux, assez différents les uns des autres, plutôt sympathiques pour certains, carrément lourds pour d'autres. Ils mettront tous à l'épreuve votre habileté et vos réflexes. On peut parler de la danse goron, ou encore de l'épreuve des chariots (où vous devrez viser avec votre lance-graines des cristaux en fonçant à toute allure dans votre petit wagonnet). S'y ajoute également l'épreuve du tir que vous retrouverez par deux fois dans l'aventure, qui est personnellement mon mini-jeu préféré, et que j'adore refaire plusieurs fois pour exploser mon score (ce qui est, je vous le dis tout de suite, parfaitement inutile, et ne fait que contenter mon ego). De même dans la plupart des donjons, vous devrez faire face à des salles remplies d'énigmes, qui vous laisseront parfois quelque peu perplexe. Des cubes à mettre sur des cases de la bonne couleur, ou encore des salles à parcourir en suivant un chemin spécifique pour passer sur toutes les dalles en une seule fois... Bref, vos méninges seront bien plus sollicités dans Ages que dans Seasons.

Autre fait important, vous aurez l'occasion de combattre Veran deux fois durant votre épopée. En effet, vous pourrez à un moment vous rendre dans le château de la reine Ambi, complètement sous l'emprise de Nayru/Veran, et affronter la terrible sorcière en faisant preuve d'imagination et de rapidité. Là aussi, je ne peux m'empêcher de faire le parallèle avec A Link to the Past, puisque vous devrez rentrer dans le château sans vous faire surprendre par les gardes, et surtout parce que le design de l'édifice, avec ses jardins, n'est pas sans rappeler celui du monde de la lumière dans l'opus Super Nintendo. Au fil du jeu, vous vous rendrez compte que le scénario de Ages semble plus abouti que celui de Seasons, et donne plus de place à des tâches variées, qui offriront donc un gameplay plus élaboré.

Et la bande son, alors, identique aussi?

Bien sûr, en premier lieu, vous retrouverez le thème mythique présent dans tous les Zeldas. Ce qui sera intéressant, au niveau son, c'est que suivant l'époque dans laquelle vous évoluerez, vous aurez une musique différente. Bien souvent, la base reste la même, mais on ressent un côté « vieillot » dans les mélodies appartenant au passé. Elles sont généralement un peu moins rapides, tandis que celles du présent ont plus de pêche. L'effet est donc réussi, et renforce le principe du jeu des allers retours entre les époques. Les musiques des donjons seront toutes différentes, certaines étant plus sympathiques que d'autres. De façon générale, les premiers donjons vous proposeront des thèmes assez simples, et seront des initiations aux principes de base, mais le jeu avançant, les musiques deviendront plus variées, plus « stressantes » et plus prenantes, facilitant d'autant plus votre immersion (et parfois votre agacement à tourner en rond). Les bruitages sont simples, efficaces, mais très peu nombreux. Enfin, les mélodies de la harpe sont ma foi fort jolies, mêmes si elles en deviendront lassantes au bout d'un moment, car vous serez parfois forcés de faire des allers retour d'époques tous les deux écrans pour pouvoir avancer, et l'utilisation de la harpe avec son chant répétitif peut devenir un peu pénible. Mais dans l'ensemble, nous faisons face à une bande son réussie, digne d'un très bon Zelda … !

Bon, d'accord, les jeux ne se ressemblent pas tant que ça ...

D'autant que la difficulté du jeu, de par les nombreuses énigmes, certains donjons particulièrement difficiles et quelques passages où vous aurez envie de mettre une bombe dans tout Labrynna pour tout nettoyer et être tranquille, vous donnera facilement une dizaine d'heures de jeu (en tout cas pour une toute première partie… une fois que vous l'avez terminé une ou deux fois, certaines choses vous paraissent plus simples, et vous ne passerez que quarante-cinq minutes sur l’île des Tokays au lieu des trois heures lors de votre toute première fois …). Le rythme du soft se tient bien, et vous aurez toujours quelque chose à faire. Comme dans tous les Zeldas, il y a forcément des moments où vous jouerez au « touriste », et ferez de l'exploration pure, en allant un peu partout, fouiller, discuter avec les villageois, avancer dans les échanges d'objets, récupérer des rubis, anneaux, graines gashas etc… Mais dans l'absolu, la trame de votre quête principale est toujours dessinée, et vous saurez toujours ce que vous devrez faire pour avancer dans l'histoire, même si parfois, vous allez franchement lutter pour y arriver. Si vraiment vous ignoriez où vous deviez aller, il vous suffirait d'aller voir votre copine Bojo, qui vous dira où se situe le prochain donjon. Et généralement, quand vous êtes en chemin, les événements se déroulent d'eux même, avec une logique implacable.

Bien entendu, comme je l'ai longuement expliqué dans mon précédent test, la force d'Oracle of Ages réside dans son lien avec Oracle of Seasons, et ses secrets, pour obtenir des bonus et des items cachés. Cela rallongera sensiblement la durée de vie de votre partie, et vous aurez bien plus de défis à accomplir. Comme je l'ai expliqué, cette fois ci, Zelda fera son apparition, et sera bien entendu très vite la prisonnière des sbires de Ganon. Vous pourrez la délivrer une première fois assez facilement des griffes de Vire, la chauve-souris géante, et la princesse se réfugiera chez sa nurse pendant une bonne partie de votre quête. Mais vous aurez aussi à faire face aux sorcières Twinrova, qui enlèveront de nouveau Zelda, et cette fois-ci, le combat sera plus rude, et surtout un prélude à votre affrontement final face à Ganondorf. Ce qui est intéressant, c'est que les événements se dérouleront d'une certaine façon dans Ages (après avoir terminé Saisons), mais que cela sera différent si vous terminez d'abord Ages et que vous enchaînez en jeu lié Seasons. Quel que soit votre choix, et si le résultat final est le même (les gentils gagnent, les méchants perdent), les changements rajouteront du piment à votre aventure, et surtout la rallongeront d'une ou deux heures, le temps de sauver plusieurs fois cette gourde, pardon, cette jolie princesse Zelda.

Si nous ne devions retenir qu'une seule chose d'Oracle of Ages, c'est que c'est un excellent soft. Alliant originalité avec les changements d'époques, une superbe réalisation, un gameplay varié et original qui va du combat au corps à corps aux victoires de mini-jeux, des musiques entraînantes, et une durée de vie plus que correcte, Oracle of Ages reste dans la dynamique des opus de la saga, et vous proposera quelques heures de véritable plaisir, associées, reconnaissons-le, à des moments de vraies prises de tête. Mais n'est ce pas cela qui fait le charme de tous les Zeldas ?


Scénario : 17/20 Non seulement, il tient la route, mais il est prenant et réserve quelques surprises …
Réalisation : 18/20 Les passages entre les deux époques sont parfaitement réalisés, et bien sûr, on retrouve l'ambiance si typique de la saga.
Gameplay : 18/20 Excellent ! Des phases de combat, des phases de jeu, d'exploration sous l'eau, de danse …
Bande Son : 16/20 Très réussie, elle ne décevra pas les fans des Zeldas.
Durée de vie : 18/20 Même sans être renforcée par les jeux liés, Oracles of Ages vous promet de longues heures sur votre console.

Note générale : 18/20.


Article publié le 31/10/2014 Jeu testé par Eiwhaz