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V-Rally Championship Edition

Section Test.


Sortie JAP non communiquée
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Sortie US non communiquée
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V-Rally Championship Edition
??/??/1998
Edité par Ocean
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Console: Nintendo Game Boy
Genre:Course
Développeur: Infogrames
Joueurs: Solo uniquement
Existe aussi sur: Nintendo 64- Nintendo Game Boy Color- PC- Sony Playstation-

Photo de la boite de V-Rally Championship Edition
V-Rally Championship Edition, capture d'écran V-Rally Championship Edition, capture d'écran V-Rally Championship Edition, capture d'écran
Bien que je ne sois pas du tout fan de jeux de courses automobiles, j’ai voulu me replonger sur un de mes premiers titres sur la console portable de Nintendo : la Game Boy. Le soft qui nous intéresse aujourd’hui n'est autre que V-Rally Championship Edition, que je possédais également sur la Playstation sur laquelle il était sorti une année avant la version Game Boy. Nous devons ce titre à l’équipe d'Infogrames, studio réputé pour avoir sorti quelques jeux assez difficiles sur la Super Nintendo, ceux-ci étant très souvent tirés de certaines bandes dessinées telles qu'Astérix, Les Schtroumpfs ou encore Tintin. Bref, une ribambelle de titres auxquels vous avez probablement déjà dû vous frotter. Qu’en est-il de ce V-Rally Championship Edition sur Game Boy, sorti en 1998 ? L’avez-vous également essayé ou êtes-vous, comme pas mal de personnes, passé à côté sans y prêter attention pour vous concentrer sur la mouture Playstation ? Comme je ne laisserais jamais aucun soft –même le pire- sur le bas-côté, j’accepte la tâche de vous faire peut-être découvrir celui-ci, et, pourquoi pas, d'éveiller assez de curiosité en vous pour que vous vous fassiez votre propre avis sur la question.

Réalisation: 11/20

Soyons francs dès le départ, cette déclinaison de V-Rally Championship Edition sur Game Boy est le V-Rally du pauvre. Comment pouvons-nous sortir une mouture aussi limitée en termes de contenu et de capacités techniques alors qu’un an auparavant était commercialisée sa version la plus aboutie, sur une console dotée d'une puissance nettement supérieure? Le public visé n’était sans doute pas le même mais est-ce là une bonne raison pour autant ? D’ailleurs ce soft a eu un mal fou à décoller et je ne suis pas sûr qu’il ait décollé un jour… Beaucoup de personnes ignorent totalement que cette licence a également vu le jour sur les consoles portables de Nintendo en commençant par la Game Boy monochrome. Donc quelle en fut la motivation ? Sans doute l’argent, et même si la franchise sur Game Boy n’a pas rapporté le gros du pactole, il faut savoir que grâce à V-Rally, ses géniteurs ont amassé un véritable petit magot par le passé. Le jeu sur Playstation, par exemple, a surclassé et dépassé à lui tout seul n’importe quel concurrent pendant quelques semaines ou mois selon les pays en figurant en tête des plus prestigieux classements nationaux et surtout européens. Rien d'étonnant, donc, à ce que la sortie Game Boy n'ait eu lieu qu'en Europe sachant que les ventes de la version Playstation n’ont pas été à la hauteur des espérances chez nos amis les japonais et américains. Une tentative de sortie au Japon a bien été réalisée avec la version Game Boy Color et Nintendo 64 de ce même jeu, mais les ventes furent assez catastrophiques. D’ailleurs l'épisode suivant sur Playstation n’est même pas sorti au Japon, toujours faute de ventes encourageantes sur son prédécesseur. L’Angleterre a été la contrée qui a le plus porté la licence qui figurait durant près de trois mois dans les tops ventes des tous les magasins du pays.

Sur Game Boy, c’est en revanche une tout autre histoire. Nous avons droit à un jeu assez agréable à la vue, il faut bien l’avouer, mais non dépourvu de quelques défauts qui ont probablement contribué à le laisser dans l’ombre. Tout d’abord, le contenu même s'avère trop pauvre. Les capacités de la cartouche et de la console ont sans aucun doute été exploitées au maximum mais quand même, nous aurions préféré peut-être moins de travail sur l’aspect sonore ou visuel du titre –pour le coup assez propre- pour avoir droit à plus de marge de manœuvre sur le contenu offert. En effet, seules quatre voitures sont mises à disposition du joueur pour dix circuits assez courts une fois le jeu bien en main. Dommage. Les véhicules sont modélisés de façon à singer une 3D –qui n’en est pas une- assez convaincante.

Une impression positive qui ne s'étend hélas pas aux circuits. Entre vide intersidéral entre le sol et le décor, et fonds d’écran effet « papier peint », la mayonnaise ne prend pas. On voit clairement que le background est un fond fixe avec toujours les mêmes monuments dessus. Cela n’est pas gênant en soi, beaucoup de jeux le faisaient déjà à l’époque et ce même sur des consoles mieux loties que la Game Boy du côté des caractéristiques techniques. Sauf que les autres le faisaient bien mieux et que l’effet arrivait à tromper l’œil du joueur qui se concentrait sur tout autre chose. Avec ce V-Rally, nous avons la fâcheuse tendance à croiser et recroiser toujours les mêmes choses sur ce fameux « papier peint ». Par exemple, sur le circuit Italie, quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre que la cité romaine comptait une cinquantaine de Vaticans et de Colisées, un constat identique pour ce qui est de la Grèce abusant copieusement du Parthénon pour remplir l'arrière plan. Combler les vides par des édifices plus lambda eût probablement été plus pertinent, d'autant que cela pourra très vite s'avérer déroutant dans un jeu de rallye où le sens de l’orientation est primordial afin de bien négocier des virages pour ne pas se retrouver dans un arbre. Le fait d’être clairement sur un jeu typé arcade n’excuse rien. Le choix est tellement absurde que parfois deux Colisées apparaîtront en même temps en toile de fond. Autant vous dire que vous aurez rapidement l'impression de tourner en rond, lorsque les édifices identiques s’enchaîneront au gré des virages, chose assez rédhibitoire dans un jeu de course.

Hormis ce détail assez gênant, le reste du jeu se défend plutôt bien. Les décors entre les pays ou circuits sont différents, les routes également et les éléments météorologiques influenceront directement certaines de vos trajectoires. Vous ne vous en tirerez pas aussi bien sur l’asphalte sec que sur des routes souillées par de la pluie ou de la neige. En raison de l'absence d'une quelconque forme de personnalisation des véhicules, les pneus neige sont équipés automatiquement avant d’entamer un circuit de ce type comme les Alpes Françaises ou la Suède, pour ne citer qu'eux. Par contre, la météo n’a quant à elle pas été épargnée par des soucis de proportions. Les gouttes de pluie sont énormes et les flocons de neige vous paraîtront être de véritables balles de golf. On ne peut donc que se réjouir que le soft ne prenne pas en compte les dégâts du véhicule, sans quoi cette neige –ou devrais-je grêle ? – aurait tôt fait de mettre votre voiture dans un bien piteux état.

Après les soucis d’échelle, abordons un détail qui ne manquera pas d'insinuer le doute chez le joueur quant à la pertinence de la physique du jeu. Loin de moi l’idée de demander quelque chose d’hyper-réaliste sur Game Boy, mais il faut bien reconnaître que certains choix de l’équipe de programmation furent discutables. Sur la route, vous rencontrerez de nombreux obstacles souvent signalés par un panneau « Danger ». Ces obstacles iront de la classique tache d’huile, au rocher placé au beau milieu de la route en passant par les bosses. Pour ce qui est de ces dernières, si vous espériez les sauter lancé à pleine vitesse, sachez qu'une surprise qui aurait fait bondir Newton vous attendra au tournant, c’est le cas de le dire… Ainsi, après avoir sauté ladite excroissance, la voiture se retrouvera dans les airs, retombera et…rebondira comme un ballon avant de terminer sa course sur le toit après un tonneau en plein air. Ce même tonneau vous fera d'ailleurs perdre du temps lorsque vous percuterez n’importe quel obstacle ou élément du décor placé au bord de la route à toute vitesse. Le but est d’aller vite, mais pas de coller le pied au plancher, ou du moins le pouce sur le bouton A…

J’ai également noté quelque chose d’assez agaçant pour le coup, qui n'est autre que l’invincibilité et la conduite parfaite des adversaires. Entrer en collision avec l'un d'entre eux vous ralentira mais l'autre protagoniste continuera sa route comme si de rien n’était, et ce quel que soit le responsable du carambolage. Il m’est ainsi fréquemment arrivé de dépasser un concurrent puis de me prendre un obstacle. J’effectue la figure acrobatique favorite de ma voiture, à savoir le tonneau, l’ordinateur me remet sur les roues, au milieu de la route, et je suis alors au point mort. Je commence à accélérer quand tout à coup, l’adversaire que je venais de dépasser me rentre dans la partie arrière du véhicule, me ramenant de fait une fois de plus à la vitesse minimale…

En dépit de ces quelques remarques, V-Rally Championship Edition sur Game Boy s'en tire relativement bien sur le plan purement technique, en se dotant de certaines qualités qui ne déplairont certainement pas aux fanas de rallye. Pour les plus néophytes, je ne sais pas si le plaisir recherché sera procuré par ce titre-là. Il reste néanmoins un bon amusement pour les courts trajets de bus ou de métro.

Gameplay: 12/20

Il est très difficile pour moi de juger un jeu de course sur son gameplay. Non pas qu’il n’y en ait aucun, loin de là ! Simplement que hormis quelques choix sur les modes de jeu, de personnalisation des véhicules ou des circuits, un titre de ce genre sur Game Boy n'offre que rarement un gameplay révolutionnaire en proposant uniquement d'accélérer ou freiner. Un jeu doit-il forcément innover pour être bon ? Certes non, mais favorisant beaucoup la prise de risque dans un soft, je me retrouve par conséquent souvent déçu devant un tel résultat… Le but n'étant pas de déclencher un débat, revenons rapidement sur le sujet dont il est aujourd'hui question.

V-Rally sur Game Boy, donc, ne contient aucun mode éditeur ou personnalisation. Ceci étant, et comme je l’ai déjà souligné, n’allons pas demander la Lune à la petite console portable de Nintendo. Vous disposerez de quatre voitures différentes, à savoir une Peugeot, une Subaru, une Ford et une Mitsubishi qui auront des caractéristiques différentes. Celles-ci ne se ressentiront que très peu dans le gameplay. Sur certains circuits en proie aux intempéries, la voiture moins adhérente finira dans les choux, alors que sa comparse la plus adaptée à la situation flirtera avec le bas-côté sans pour autant occasionner une perte de contrôle. D'une manière générale, une grande importance est accordée à l'adhérence au détriment des autres caractéristiques (vitesse max, accélération et freinage) qui ne sont d'aucune utilité puisqu'invisibles durant la partie, et il sera par conséquent vivement conseillé d'opter pour la voiture la plus apte à coller à la route, en l'occurrence la Ford. En effet, plus d’adhérence signifiera pour vous moins de sorties de route et moins de temps perdu à faire de joyeux tonneaux à cause d’un caillou oublié sur les limites du circuit.

Quatre voitures donc, pour dix circuits : la Corse, Nouvelle Zélande, Italie, Alpes Françaises, Safari, Indonésie, Argentine, Grèce, Angleterre, et Suède. La Corse et la Nouvelle Zélande représentent la difficulté facile en mode Arcade. Il vous faudra impérativement y passer pour déverrouiller les circuits de difficulté moyenne -à savoir Italie/Alpes Françaises et Safari- qu’il faudra à leur tour terminer pour accéder aux pistes offrant le challenge maximal (Indonésie, Argentine, Grèce, Angleterre et Suède). Il y aura en plus de ce mode Arcade, un mode Championship dans lequel vous retrouverez tous les circuits susnommés dans un ordre prédéfini par la machine. Le but consistera ici à terminer premier dans le classement général. Vos adversaires seront d’autres voitures qu’il faudra dépasser comme dans un jeu de course traditionnel. Les « chronomètres » n’auront ici aucune incidence sur le classement même si, bien entendu, plus vous irez vite, meilleure sera votre place au sein dudit classement. Les circuits du mode Championship différeront très peu de ceux du mode Arcade. Prenons l'exemple du circuit Corsica. Sur le mode Arcade il s’agira du circuit le plus facile et aucun réflexe ne sera nécessaire pour le boucler rapidement. Il faudra juste compter sur votre capacité à lire et comprendre les informations affichées à l’écran sous forme de panneaux et à anticiper des virages pour la plupart pas très compliqués à négocier. En mode Championship, cette même piste vous demandera plus de concentration. Vous ferez la connaissance des virages en épingle à cheveux et des rochers sur la route. Il restera cependant assez abordable en comparaison d’autres circuits bien plus retors tel que la Suède ou la Grèce.

On a souvent tendance à l’oublier mais ce V-Rally comporte également un écran d'options qui, s'il ne constitue pas un mode de jeu à proprement parler, n'en est pas moins plutôt intéressant puisqu'il permet de renouveler l’expérience. Il est ainsi, tout d'abord, possible d'agir sur la difficulté du titre. De débutant, on peut ainsi passer par Pro ou Expert. Ce réglage n'influe néanmoins aucunement sur les tracés, mais uniquement sur l'agressivité des adversaires. Vous pourrez ensuite choisir l’affichage entre kilomètres par heure (km/h) ou miles per hour (mp.h). Vous remarquerez également la présence de mots de passe qui remplacent la sauvegarde et permettent de reprendre une partie mise de côté en mode Arcade. Utile, même si le jeu n’est pas extrêmement long. Une possibilité beaucoup plus intéressante justifie cependant à elle seule le passage par cet écran d'options : il s'agit de la modification de la signalisation. Ainsi vous est offert le choix entre être prévenu des dangers et de la nature des virages à venir comme si un copilote vous guidait, ou être seul maître à bord en misant tout sur vos réflexes et aptitudes d’adaptation à la route. Ce détail peut paraître anodin mais il n'en est rien. Supprimer la signalisation rend bien évidemment le titre beaucoup plus difficile car la distance d’affichage de certains obstacles est très proche du joueur. Cela en devient presque absurde de proposer cette option mais sincèrement le plaisir de terminer une course n’en est que plus grand. Il faudra par contre connaître certains circuits par cœur avant de vous frotter à ce genre d’épreuve, surtout sur le mode Championship. Enfin, vous pourrez via les options changer votre nom qui par défaut est « Player », nom qui apparaîtra dans le classement, toujours en Championnat. Ce qui est regrettable en revanche, c’est qu’une fois le jeu terminé, il est vraiment terminé. Aucun bonus ne sera à débloquer, vous aurez joué pour jouer. Proposer quelques circuits ou voitures bonus aurait pu allonger la durée de vie.

Scénario: - /20

Je ne vais pas vous faire l’honneur de créer un scénario boiteux rien que pour remplir cette partie. Il n’y a aucune toile de fond à l'aventure. Libre à vous cependant d’entrer complètement dans le soft, de vous prendre pour un pilote de rallye de renommée mondiale qui doit gagner le Championnat pour affirmer sa domination ou désireux de récupérer son trophée après une période de traversée du désert due à la drogue, l’alcool, les lieux peu fréquentables et j’en passe. Votre imagination fera le boulot…ou pas.

Bande son: 08/20

La force de la bande son réside principalement dans les thèmes du menu et des crédits. Le reste n’est que bruitages désagréables, vraiment monotones et soporifiques. Si l’accélération vous fera penser qu’un bourdon veut votre peau, les freinages auront l’effet d’ongles sur un tableau noir. Personnellement, ce bruit ne me dérange pas mais je sais que certains y sont sensibles, mieux vaut donc être averti. La bande son de ce titre est signée Alberto José Gonzalez qui fut l’un des compositeurs attitrés de chez Infogrames. On le retrouve notamment sur du Astérix & Obélix, Les Schtroumpfs, Spirou, Sea Battle, Lucky Luke, Otto's Ottifanten: Baby Bruno's Nightmare, Bomb Jack et deux Tintin. Il a également travaillé sur les titres d’autres studios tel que Hugo 2, jeu d’aventure de chez Laguna ou encore Turok: Battle of the Bionosaurs de Acclaim, pour ne citer qu'eux.

Durée de vie: 08/20

Précédemment, je soulignais que ce titre était parfait pour passer le temps lors de trajets en bus ou en métro. Vous vous en douterez, à fortiori en lisant cette remarque, un jeu de course sur Game Boy n’est pas bien long à terminer. Pour conclure le mode Championship, il vous suffira d’une trentaine ou d'une quarantaine de minutes, à raison d'environ trois minutes pour arriver premier sur chacun des dix circuits. Vous pourrez cependant tenter de refaire le jeu dans des difficultés plus élevées comme par exemple en Expert sans signalisation ou Pro avec signalisation. Vous pourrez modifier à votre guise les options histoire de vous apporter du challenge et de la replay value que le jeu ne possède pas en lui-même, l’absence de voitures ou de circuits bonus à débloquer nuisant à cette dernière. Le joueur devra donc de lui-même trouver quelques parades pour continuer à jouer sur ce fameux V-Rally Championship Edition.

Le gros plus de ce V-Rally sur Game Boy réside sans doute dans sa bande son et sa réalisation presque sans faille. Bien que les deux domaines soient entachés par des petits défauts ici et là, le soft d'Infogrames s’en sort vraiment bien. En revanche, un contenu bien trop maigre pourra lasser le joueur au bout de quelque temps, le titre peinant à se renouveler passée l'heure de jeu. Seul le plus passionné, le plus téméraire le reprendra depuis le début dans des modes de difficulté plus élevée, prenant un malin plaisir à personnaliser ses parties via un menu d'options fort bien fourni.


Réalisation: 11/20
La technique du jeu n’est pas sans faille. Ses qualités résident dans l’absence totale de gros bugs pouvant interférer négativement avec l’expérience du joueur voulant se prêter au jeu. Seuls quelques choix de gameplay -notamment des lois de la physique franchement défiées- pourraient agacer. Un fan de course automobile y trouvera sans doute son compte, un néophyte par contre n’y jouera que de manière très passagère.

Gameplay: 12/20
Quatre licences achetées pour pouvoir prendre le contrôle des voitures les plus représentées sur les circuits de l’époque. Peugeot, Ford, Mitsubishi et Subaru sont de sortie pour se défier sur dix circuits à travers le monde. Vous pourrez visiter dans des versions très simplistes la France, le Kenya (Safari), ou encore l’Indonésie, entre autres.

Scénario: /20
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Bande-son: 06/20
Autant les bruitages sont ultra désagréables, autant les thèmes d’intro et de crédits sont vraiment bien choisis compte tenu du soft que vous aurez entre les mains. Malheureusement, les bruitages sont nettement plus présents que ces deux musiques qui se laisseraient écouter…

Durée de vie: 07/20
Il faudra compter quarante minutes pour clôturer le jeu et aucune replay value sauf si le joueur cherche de lui-même à réitérer l'expérience dans des difficultés plus élevées. Un jeu que l’on consommera pendant un trou dans l’agenda ou pour s’occuper lors de courts trajets dans les transports en commun. Rien de plus.

Note globale: 09/20


Article publié le 10/08/2013 Jeu testé par Jsdef