Beyond Good and Evil sur Nintendo Gamecube
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Beyond Good and Evil

Section Fiche De Jeu.


Sortie JAP non communiquée
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Beyond Good & Evil
11/12/2003
Edité par Ubisoft
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Beyond Good & Evil
27/02/2004
Edité par Ubisoft
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Console: Nintendo Gamecube
Genre:Action/Aventure
Développeur: Ubisoft
Joueurs: Solo uniquement
Existe aussi sur: Microsoft X-Box- Microsoft X-Box 360- PC- Sony Playstation 2- Sony Playstation 3-

Photo de la boite de Beyond Good and Evil
Beyond Good and Evil, capture décran Beyond Good and Evil, capture décran Beyond Good and Evil, capture décran
Dans le milieu très ouvert de la scène artistique, l’onirisme est apparu en premier chez des peintres qui en avaient assez de peindre le réel, le cohérent et l’austère pour ensuite se porter vers toutes les autres formes d’art, certaines étant plus à même que d’autres de le mettre en scène. Quoi de plus normal donc de retrouver l’onirisme dans une des formes artistiques les plus jeunes, à savoir le jeu vidéo. On en parle beaucoup depuis quelques années et on a un peu l’impression de le mettre à toutes les sauces comme un argument de vente tel le réalisme des graphismes il y a quelques années où un jeu se vendait parce qu’il était quasi photo réaliste et pas parce qu’il était bon. Replaçons les choses dans leur contexte : l’onirisme désigne tout ce qui a trait au monde du rêve, à la rêverie, la poésie et caractérisé par l’irréalisme. Alors bon, il y a de quoi bondir lorsque l’on entend que The Last of Us ou The Walking Dead (somme toute de très bons jeux) sont des aventures oniriques juste parce qu’elles font surgir chez le joueur des émotions telles que la tristesse ou l’empathie…

Sorti en 2003, Beyond : Good and Evil (qu’on appellera BGE pour plus de commodité), au même titre que Ico ou encore Okami, est quant à lui un jeu baignant réellement dans l’onirisme puisque l’aspect poétique et l’attachement aux personnages nous transportent du début à la fin. Un jeu qui mérite bien ces quelques lignes sur notre site, puisqu’en plus c’est un jeu français, imaginé par le papa de Rayman -le fameux Michel Ancel- une personnalité incontournable du milieu du jeu vidéo.

Alors ce BGE, mérite-t-il vraiment un deuxième opus ou doit-on en rester là ? La réponse après la libération d’Hillys ?

Test complet de Beyond Good and Evil