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Jouer Arcade chez soi


Tour d'horizon


image d'illustration du dossier: Jouer Arcade chez soi, Tour d'horizon

Un article de Tanuki

Suite à une demande, voici un mini-dossier sur les différentes manières de jouer aux jeux issus des salles d’arcade chez soi. Ce dossier se veut volontairement « mini » pour éviter d’embrouiller inutilement ceux qui n’y connaitraient rien et souhaiteraient juste en savoir un peu plus sur les différentes possibilités, les coûts et les faisabilités. Il ne représente absolument pas un tutoriel complet sur les différentes façons de procéder mais se veut plutôt une piste pour aider à faire son choix sur la manière de jouer arcade chez soi. Chacun verra ainsi en fonction de ses possibilités d’achat ou du temps qu’il souhaite investir dans diverses fabrications maison ce qui lui conviendra le mieux. J’offre aussi quelques détails sur les moyens d’aller encore un peu plus loin concernant le bricolage. Ultime précision : ce mini-dossier concerne presque exclusivement les PCB JAMMA ! Qu’est-ce donc ? Lisez la suite pour le découvrir !

Avant-propos : qu’est-ce qu’un jeu d’arcade

Tout d’abord définissons rapidement ce qu’on entend par jeux d’arcade. On parle ici de jeux vidéo diffusés dans des lieux publics, qu’ils soient bistrots ou salles dédiées. Ces jeux prennent la forme d’une borne, c'est-à-dire d’une machine mettant principalement à disposition du joueur quatre systèmes qu’il est certainement inutile de présenter tant leur noms parlent d’eux-mêmes.:
*un monnayeur
*un écran
*Un panel de commandes
*Des enceintes
Ces bornes peuvent prendre des formes plus ou moins complexes et coûter plus ou moins cher en fonction de leur design, du nombre et de la taille des écrans et des accessoires proposés. Un quatrième « objet » est à l’origine du jeu vidéo à proprement parler : une PCB, autrement dit un circuit imprimé sur carte (Printed circuit board). Cette PCB est invisible des utilisateurs de la borne. Il est relié aux quatre systèmes mentionnés auparavant et à une alimentation électrique. A partir de là nous en savons presque assez pour aborder sereinement ce dossier !


En quoi consiste donc le fait de jouer arcade chez soi ?

Les opinions pourront diverger en fonction de l’authenticité de l’expérience qu’on recherchera, cependant admettons que jouer arcade chez soi consiste à pouvoir utiliser un jeu issu de ce milieu sans avoir à se déplacer ni payer. Par voie logique, utiliser un jeu d’arcade consistera donc à voir et entendre ce jeu, pouvoir le lancer et agir dessus (encore ces fameuses utilisations des quatre systèmes !). Ce sont les procédés qui permettent cela que nous allons tout de suite aborder !

Emulation. Méthode gratuite, accessible à tous. Niveau d’authenticité zéro sur deux (0/2)

Tout possesseur d’ordinateur un minimum puissant (autrement dit pratiquement tout ce qui existe en 2010) pourra utiliser un émulateur. Il en existe plusieurs mais le plus reconnu et le plus performant et sans contexte MAME. Cet émulateur permet d’utiliser plusieurs milliers de jeux vidéo issus de l’arcade. Attention, cette méthode est illégale, le téléchargement de jeux est illicite, chacun appartenant à ses ayants droit !

Comment faire ?
*Posséder un ordinateur
*télécharger l’émulateur MAME depuis le site officiel de l’équipe de développement
*installer le programme sur l’ordinateur en cliquant sur son icône
* récupérer le jeu désiré en le téléchargeant sur un site dédié aux Roms (le jeu disponible en téléchargement est une image du programme original appelé ROM)
*Placer ce jeu non renommé et en l’état dans le dossier d’installation de MAME dans un sous-dossier appelé ROM
*Cliquer sur l’exécutable (EXE) de MAME
*Appuyer sur la touche F5 du clavier pour mettre à jour les roms disponibles (cette opération doit se répéter à chaque nouvelle insertion d’une rom dans le sous dossier rom
*cliquer sur le titre du jeu apparu dans la fenêtre de MAME

L’avantage de Mame est de permettre aux moins fortunés de jouer à une multitude de jeux des plus anciens aux plus récents. Ce programme est d’une grande simplicité d’utilisation puisqu’on pourra jouer au clavier ou avec une manette PC, sauvegarder des photos d’écran et effectuer des sauvegardes de progression. Les jeux CPS de Capcom (jeux nécessitant six boutons à la street fighter) et les jeux Neo Geo passeront à condition de récupérer les BIOS (les « programmes ») correspondants.

On pourra améliorer le confort de jeu en branchant au PC une manette d’arcade mais l’authenticité de l’expérience correspondra tout de même peu à celle d’une véritable borne. Les crédits illimités, les sauvegardes que chacun sera tenté de faire limiteront la durée de vie de chaque titre. De plus, l’émulation, même si elle peut s’avérer plus que bonne, ne sera pour autant jamais parfaite. La vitesse du jeu ou ses coloris ne seront jamais totalement ceux d’origine. Evidemment il ne faudra espérer aucune sensation concernant les branchements des PCB, les chutes de pièces dans un monnayeur ou le toucher des matières. On passe en réalité à côté du « produit » pour n’en garder que l’aspect purement jeu !

Supergun. Méthode à coût raisonnable pour bricoleurs ou acheteurs. Niveau d’authenticité un sur deux (1/2)

Un Supergun n’est rien d’autre qu’un assemblage de composants électroniques permettant de faire fonctionner une PCB. Ce Supergun permet de brancher une alimentation sur la carte et d’en extraire le son et la vidéo pour les diffuser sur une télévision ou un écran d’ordinateur moyennant un adaptateur. Il existe des Supergun prêts à l’usage mais ceux-ci ne sont jamais commercialisés par une entreprise « reconnue ». Certaines proposent des montages de leurs crus avec plus ou moins de qualités. Très souvent ces Superguns ne bénéficient pas de manettes et d’alimentation. Nous le verrons dans les lignes qui suivent l’alimentation est de type PC, cela coûtera dans les vingt-cinq euros. La manette pourra se fabriquer, s’acheter ou se récupérer puisque régulièrement les Supergun du commerce possèdent des connecteurs de type Megadrive ou Neo Geo.

L’avantage du Supergun est de permettre de jouer à tous les jeux Jamma du commerce. Le Jamma est un standard apparu en 1985. Auparavant chaque jeu possédait ses branchements, son type de courant etc. Une PCB étant autonome du point de vue « programme », les Superguns sont assez simples de conception et se situent dans une fourchette de 100 à 200 euros, cette fourchette incluant les possibilités de régler les contrastes, de diffuser les images sur une télévision LCD etc. En apparence, les Superguns diffèrent autant que leurs créateurs. On trouvera de simples boites en bois, des boitiers en plastique ou en métal et même des superguns ayant l’aspect d’un « gros panel d’arcade pour un ou deux joueurs.

Pour choisir un modèle il faudra, en dehors du prix, accorder de l’importance aux possibilités de réglages des couleurs (trois potentiomètres molettes vaudront mieux que des potentiomètres à manipuler au tournevis) et éventuellement de la position verticale et horizontale à l’écran ! Des jeux ayant tendance à se décaler sur ces axes. Pour les bricoleurs, il faut savoir que concevoir un Supergun est assez simple. Il en coûtera moins cher mais évidemment il faudra se procurer chacune des « pièces » nécessaires au montage et apprendre à souder.

Pour les curieux, sans constituer un tutoriel sur la chose, voici comment cela se passe :
Le plus simple des Superguns maison disposera de deux ports manettes, d’une connexion péritel, et d’un bouton on/ off. Les manettes seront de type Neo Geo (mais tout autre manette peut faire l’affaire du moment qu’elle possède au moins trois boutons).

Le matériel hors outil reviendra ainsi à une 50 aine d’euros. Celui-ci se constituera essentiellement d’une alimentation type PC, d’interrupteurs et boutons pressoir, de quelques résistances, des connecteurs pour manettes, de câble, d’un boitier (encore que ce dernier ne soit pas obligatoire, le montage pouvant rester « à l’air libre ») et bien évidemment d’un connecteur Jamma !
Concernant les outils, il en faudra peu : un multimètre, des tournevis, un fer à souder et son étain, un ou deux objets de découpe (cutter par exemple ou dremel) et quelques vis.

L’opération consistera à souder du câble sur les différents interrupteurs, boutons et connecteurs. C’est là qu’un boitier est utile car, s’il reste possible de laisser tout cela se promener, il est bien plus pratique pour effectuer les branchements lors d’une utilisation ou même pour assurer la solidité de l’ensemble, de fixer ces composants sur une surface rigide ! Des plans sont disponibles sur internet et permettent de câbler tout le système sans avoir une once de connaissance en électronique (voir les liens en bas de page !).

Une fois le Supergun lui-même fabriqué il reste possible d’enchainer sur les manettes. Celles-ci sont plus « adaptées » qu’une manette de console en particulier pour les jeux de combat de type Street Fighter. Là, le choix est vaste au niveau des possibilités mais une manette lourde, dotée de boutons et d’un stick de bonne qualité, est un gage de plaisir. Les accessoires les plus réputés dans ce domaine sont de marques Japonaises Seimitsu ou Sanwa. Ces deux fabriquants équipent les bornes officielles japonaises mais trouver leurs produits est très simple même en France et les références sont nombreuses. Là encore, l’opération consistera à poser quelques câbles et à visser des composants. Mais quelques efforts de perçage (pour placer les boutons et le stick) nécessiteront un outil adéquat ou de l’huile de coude !

Le grand avantage à concevoir soi-même son Supergun est d’en diminuer les coûts et de pouvoir y inclure quelques options bien pratiques. S’il est recommandé cependant de commencer par quelque chose de simple, citons quand même les possibilités suivantes, plus ou moins utiles : insérer des diodes sur les manettes pour vérifier leur fonctionnement, insérer des boutons d’accès au « test menus » des jeux (pour définir des options ou accéder à des sound test ou autres), poser les boutons de crédit sur les manettes plutôt que sur le Supergun, ou encore customiser ses manettes en y apposant sticker, peintures ou matériaux « nobles ».

D’un point de vue expérience, il va sans dire que nous passons un cran au dessus de l’émulateur. Ce que l’on perd en possibilité de téléchargement on le gagne en satisfaction. Soit celle de posséder un bel objet (tant le Supergun que la PCB qui est accompagnée d’un manuel d’utilisateur et de flyers quand elle est complète), soit celle de l’avoir fait soit même. Manipuler l’objet, le brancher (taille conséquente de l’ensemble ! Les PCB étant assez énormes !), régler parfois les contrastes à l’écran et jouer dans des conditions originales sont autant de plaisir en plus. Mais tout cela a un coût et une contrepartie. Les PCB ne sont pas toutes trouvables en France, leur prix peut être imposant et la plupart des systèmes « propriétaires » ne passeront pas sans adaptateurs/connecteur variés (type MVS NEO GEO par exemple) sans oublier qu’il aura fallu prévoir le câblage des manettes conséquemment en amont !

Borne personnelle. Méthode à coût raisonnable pour bricoleurs ou à coût important pour les acheteurs. Niveau d’authenticité deux sur deux (2/2)

La borne d’arcade : le sujet sera découpé en deux parties pour plus de simplicité !

On commencera par la plus authentique, ou la plus simple, celle qui consiste à l’acheter. Là encore on pourrait diviser la chose en deux : acheter un ancien modèle, acheter une borne moderne !

Acheter un ancien modèle est risqué et si le cœur nous en dit, mieux vaudra la tester sur place que l’acheter en ligne. Les écrans des anciennes bornes ont souvent du vécu et ont vu passer des milliers d’heures d’images. Même sans être utilisées, il faut penser que les bornes étaient en marche et « jouaient » seules, en boucle, certains passages des jeux. Des trainées lumineuses, des baisses de contraste, des réminiscences d’images et même les pannes des tubes peuvent entacher le plaisir de jeu ou nécessiter une réparation. Même si les coûts ne sont pas forcément rédhibitoires, il faudra les prévoir et avoir une certaine connaissance du sujet. En dehors de cette partie sensible les bornes se préservent souvent bien. Une petite vérification de l’alimentation et des éventuelles usures des matières (bois des panneaux latéraux) suffira à vite se faire une idée. Tout est changeable mais encore une fois cela a un prix et prend du temps. Si le choix se porte sur une borne très ancienne il faudra penser que le Jamma ne sera pas son standard et que d’autres jeux ne pourront pas s’y greffer, mais si on reste dans le modèle raisonnable et des milieux des années 80 jusqu’au milieu des années 90, il est possible de trouver son bonheur pour une fourchette de 100 à 200 euros. Le transport s’avère souvent hasardeux car ce sont pratiquement toujours d’anciens exploitants ou des « récupérateurs » qui vendent ces machines. Ils n’assurent donc pas souvent le transport et n’offrent que « la remise en main propre sur place » ! Un gros véhicule est donc nécessaire pour « trimballer » ce poids qui dépasse la centaine de kilos !

Malgré ce qui pourrait apparaître comme des défauts, posséder ce genre de borne est une expérience agréable, d’autant plus s’il a fallu la restaurer ! Loin d’être aussi générique que les bornes modernes, leur design « ancien » et leurs illustrations possèdent indéniablement un cachet retro !

La seconde catégorie de bornes achetées est donc celle des bornes modernes. On tombe tout de suite dans une fourchette de prix bien plus large. Cela peut varier de 400 à environ 2000 euros pour des bornes simples sans accessoires (les autres, dédicacées, souvent neuves, coûteront au moins 6000 euros mais mieux vaut prévoir 10000 à 15000 pour être dans une bonne moyenne !). Ces bornes ont le mérite d’être assez récentes pour ne pas être trop usagées même achetées d’occasion et nécessiter des réparations. Les écrans sont parfois retournables (facilitant l’utilisation de certains type de jeux) et de toute façon de meilleure qualité que les anciens modèles. Elles pèsent tout aussi lourd que leurs ainées, mais remplacent beaucoup le bois par du plastique ou du métal. C’est un détail qui plait ou pas, surtout associé à des designs résolument plus tournés vers le présent, plus « ronds », plus clairs et sans illustrations. Ce sont aussi presque exclusivement des modèles Japonais contrairement aux bornes anciennes.

Seconde partie de ce paragraphe : les bornes faites maison !

Le plus simple consisterait à créer ce qu’on appelle une MAMECAB, autrement dit une borne dédiée à MAME !! Les coûts ne seront pas forcément moindres que ceux alloués à une borne Jamma mais on supprimera définitivement la nécessité de se procurer des PCB !

La chose consiste donc à créer soit même une borne en bois dans laquelle on placera un écran d’ordinateur, une unité centrale et un clavier. Il faudra donc accepter de « perdre » l’usage classique d’un ordinateur même si on peut tout à fait encore s’en servir en acceptant de ne pas forcément être dans une position optimale. Les matériaux peuvent se résumer à des planches de bois médium et à des vis. Il suffira de découper ou de faire découper les formes voulues : normalement et toujours simplement les panneaux latéraux, une façade en deux parties, percée d’un grand carré laissant apparaître l’écran et une face arrière. L’intérieur de la borne qu’on prend soin de laisser accessible par un dos amovible, dispose de supports pour caler l’écran et dans sa partie basse d’un support pour poser l’unité centrale de l’ordinateur. Une plaque de verre protège l’écran qu’on aura incliné et bien évidemment on aura relié à l’unité centrale le panel de commande en détournant un circuit imprimé de manette compatible et en y ressoudant sticks et boutons d’arcade. Le clavier de l’ordinateur sera dissimulé sous le panel de commande ou à l’intérieur de la borne en face avant (pas obligatoire mais qui peut servir si on maintient une connexion internet sur la borne pour le téléchargement ultérieur de ROM). Mais tout cela serait passer à côté d’un des plaisirs d’une borne : son style !

Même si on choisit de passer par l’émulation pour avoir à disposition rapidement une multitude de titres à moindre frais, le plaisir de posséder une borne passe aussi par les petits détails qu’on lui aura accordés ! Ainsi, des décorations du panel, du pourtour de la plaque protectrice de l’écran et des panneaux latéraux de la borne pourront être un plus. Un haut de borne illuminé pourra compléter la finition de l’ensemble. Si les décorations peuvent se faire en peinture, il pourra être plus pratique et prudent (mais beaucoup plus onéreux) de faire ou de faire tirer des « autocollants » grands formats spécialement pour cet usage. L’éclairage de la borne, elle peut se contenter d’une plaque de plexiglas ou de verre décorée et d’un tube néon ! En fin de compte donc, pour quelques investissements supplémentaires on pourra obtenir quelque chose de tout-à-fait convenable ! A noter que cet assemblage est un mélange d’authenticité (la borne) et d’économie/facilité (l’émulation), ce n’est donc pas celui qui donnera le plus de satisfaction au véritable fan d’arcade bidouilleur.

Le plus authentique des systèmes pour bricoleurs est évidemment celui d’une borne câblé Jamma.

Point de vue investissement et matériel, il sera un peu moins coûteux que son homologue MAME puisqu’on abandonnera l’ordinateur pour un Supergun. Toute la partie « design » sera identique au modèle précédent. La partie « technique » remplacera l’écran par une version CRT de télévision (ou un écran PC utilisant un convertisseur vga pour le signal vidéo) et obligera à câbler le panel de commande directement sur la borne (on pourra toujours connecter ce panel au Supergun via des broches pour préserver la transportabilité du Supergun !). On pourra également poser de plus grosses enceintes ou apposer un monnayeur pour retranscrire jusqu’à la nécessiter de déposer des pièces dans la borne pour créditer les jeux ! Cette ultime façon de concevoir l’arcade chez soi est probablement équivalente en termes de plaisir au fait d’acheter une borne. La satisfaction d’avoir un objet unique créé par ses soins y sera pour beaucoup d’autant plus si on se décide à créer une borne originale, avec des sièges ou un cockpit par exemple. Mais cela est une autre histoire !

On le voit il existe finalement peu de façons de jouer arcade chez soi. Mais pour chaque façon quelques variantes permettent de trouver son bonheur et cela quelle que soit la bourse dont on dispose. Le plus difficile en fin de compte reste de se procurer des jeux mais avec Internet nul doute que les possibilités sont là aussi au rendez-vous pour peu que l’on soit un minimum débrouillard.
Pour terminer voici une liste de liens classés par catégorie et qui vous permettra de trouver matériel ou jeu :

Pour des composants :

Starcab 

Pour un tutoriel sur la fabrication d’un supergun :

arcade system

Pour un exemple de fabrication de Mamecab :

Metagames

Pour acheter des bornes d’arcade :

Sud-automatic

Biggames

Pour des informations sur la construction de bornes d’arcade:

Atomicfe

Pour Acheter des pcb arcade à bon prix en étant débrouillard:

Yahoo Japan


Article publié le 04/04/2010

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Les commentaires pour cet article avant le 23 février 2014



Posté par SLAINE le 08/04/2010

c'est sûr qu'avoir une borne MVS à la maison serait le top pour moi. En gros fan de jeux neogeo, je me vois déjà me faire un mutation nation, last resort ou metal slug à la maison... le rêve...

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Posté par Conreik le 08/04/2010

Bon ben alors diète !

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Posté par Tanuki le 08/04/2010

pour 200 euros une mvs ça m'étonnerait ^_^
mais une borne ancienne pourquoi pas! Faudra bien vérifier l'écran, j'insiste, j'insiste ;)

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Posté par Conreik le 08/04/2010

Merci tanuki !
J'en rêve d'une bonne borne d'arcade avec metal slug. Si jamais j'en trouve une pas loin de chez moi, je pense que je serais prêt à y mettre 200 euros (ce qui est énorme pour un petit jeune !).
Sinon, dès que j'ai un salaire, diète pendant 1 an et hop !

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Posté par Tanuki le 04/04/2010

Un dossier qui t'était destiné (tu en avais fait la demande). Une sorte de mini-dossier/mini tuto pour faire un peu le tour des possibilités.
Me concernant j'ai opté pour un supergun fabriqué maison. Je voudrais une borne mais je me tâte sur le genre etc. Je n'ai pas eu de malheureuse expérience heureusement. Pour tout le monde je conseillerais un supergun comme ça après on peut le mettre dans une borne maison. On peut délayer les achats mais quand même jouer et c'est un plus!

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Posté par SLAINE le 04/04/2010

yeah, un dossier sur l'arcade... Excellent, ça ne fait qu'alimenter une fois de plus mon désir de me prendre une borne d'arcade à la maison (du moins quand j'aurais une grande maison à moi). Je m'imagine déjà avec ma salle de jeu, billard, console, écran cinéma, borne d'arcade. Le rêve d'un enfant devenu grand...
Merci pour toutes ces infos... Tu as choisi quel système et es tu passé par des expériences malheureuses avant de trouver ton bonheur ?

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